A lire sur le site de la revue Politique
Des décennies de politiques « sparadrap », visant à ouvrir les emplois de qualité aux femmes et aux racisé.e.s et on n’y est pas encore. De plus, le racisme, le sexisme et leur lot de discriminations continuent de gangréner la société. Pourtant, rien d’étonnant à ce que celles et ceux qui jouissent de privilèges innés rechignent à s’en départir. L’établissement temporaire d’un système de quotas permettrait de se passer de la bonne volonté des dominant.e.s. Surtout, il pourrait insuffler de la diversité dans les structures du pouvoir. Lorsqu’elles refléteront enfin la composition de la société, les quotas n’auront plus de raisons d’exister.
Billet paru en février 2019 sur le site de la revue Politique